Forum scientifique sur la classification de la fête de yennayer comme patrimoine mondiale auprès de l’organisation de l’UNESCO

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Sur une initiative du Haut Commissariat de l’Amazighité représenté par son Secrétaire Général, monsieur Si L’Hachemi Assad, la ministre de l’éducation nationale, madame Nouria Benghabrit, accompagnée de monsieur de wali d’Oran, monsieur Abdelghani Zaalène, a procédé samedi 20 février 2016, à 9.00 au centre de recherche en anthropologie social et culturelle à Oran, à l’annonce officielle des travaux du forum scientifique sur le «classement de la fête de Yennayer comme patrimoine mondiale auprès de l’organisation de l’UNESCO».

Il est à noter que ce forum scientifique a connu la participation de représentants des ministères des affaires étrangères, et de la culture et de ceux de l’organisation de l’UNESCO ainsi que de professeurs et chercheurs et autres personnes intéressés par l’histoire et le patrimoine en vue d’appuyer ce dossier avant de le soumettre à l’organisation de l’UNESCO.

il est également important de préciser que cette conférence entre dans le cadre de la stratégie à laquelle le ministère de l’éducation nationale vise à concrétiser dans le cadre de  la loi d’orientation en coordination avec le haut Commissariat de l’Amazighité, et ce afin d’inclure la fête de Yennayer dans le programme de l’UNESCO et donner la place substantielle au patrimoine national surtout que la fête de yennayer est considérée parmi les héritages culturels, historique, géographiques et civilisationnels reconnus.

En marge de cette conférence, madame la ministre a fait une déclaration à la presse durant laquelle elle a plébiscité le rôle et l’initiative du Haut Commissariat de l’Amazighité dans l’organisation de cette conférence et elle a également répondu à d’autres questions qui touchent le secteur de l’éducation.

Madame la ministre a aussi visité, en compagnie du wali d’Oran et Secrétaire Général du HCA, une exposition de livres scientifiques et d’écrits et autres éditions universitaires, au centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle (CRASC).